• ! e viva españa !

     

    ! e viva españa !

     

    L'hommage constant de l'espagne dans la carrière de Madonna n'est plus à démontrer. En vidéo ou sur scène, la star a très souvent eu l'occasion de montrer son amour pour la culture hispanique, son folklore, ses rythmes. Il est vrai qu'il y a une chaleur humaine et une proximité de vie dans tout les pays latins, lorsqu'on y a mis les pieds une première fois, de retour au pays, le coup de blues on garde en soi une trace indélébile à jamais ancrée et rien n'est plus important de vouloir y retourner quand l'occasion se présente, on se met à rêver à San Pedro (elle était facile) et tout devient possible.

    El homenaje permanente de España en la carrera de Madonna está bien establecida. En vídeo o en el escenario, la estrella ha tenido a menudo ocasión de mostrar su amor por la cultura hispana, su folklore, sus ritmos. Es cierto que hay una calidez y cercanía de la vida en todos los países de América, cuando pisó una vez allí, de vuelta a casa, la tristeza de golpe de Estado quese mantenga una huella indeleble para siempre arraigados y nada es más importante para querer volver cuando surja la oportunidad, de empezar a soñar en San Pedro (era fácil) y todo es posible.

    Dès 1982 dans le clip « bordeline » Madonna fait un clin d'oeil -un peu hors sujet quant au thème du clip-vidéo- au flamenco lorsqu'on la voit poser face à l'objectif d'un photographe un ballon jaune au-dessus de la tête et lorsqu'en plan large on la voit avec d'autres jeunes gens devant la façade d'un magasin où il est écrit « nourriture mexicaine & du salvator »

    En 1987 pour la bande originale du film du même nom, la chanson « who's that girl » possède elle, une rythmique résolument latino dès l'introduction, le refrain hypnotique et letmotiv où Madonna répète inlassablement « quien es esa niña.../... señorita mas fina » et plus tard « tu corazon es suyo » démontre une fois encore l'intérêt de la chanteuse et le fait d'insérer une langue étrangère dans une chanson anglo-saxone est de toute évidence un signe fort d'intégration et de main tendue vers le peuple d'Amérique Latine, espagnol et portugais.

    C'est tout aussi vrai en 1989 pour la chanson « pray for spanish eyes » méconnue du grand public, pourtant superbe ballade mélancolique, à plusieurs reprises la chanteuse intègre parfaitement l'anglais et le castillan au sein d'un couplet « you were not the maravilla (merveille) in our minds ».../... « .../... in the barrio (voisinage) all the streets.../... » une voix additionnelle masculine rauque conclue avec « tus lagrimas de tristeza no me dejan olvidarte » que l'on pourrait traduire par « tes larmes de tristesse ne me feront jamais oublier ».

    En 1990 on aurait pu se passer du décalé « i'm going bananas » qui n'a ni queue ni tête et dont on peine à traduire les paroles, tellement le mélange des deux langues et fait de manière anarchique.

    1996/1997 : Période Evita, grande épopée, grand film pour Madonna qui remporte la victoire sur les deux tableaux ; chanter en jouant la comédie et raconter un destin tragique sur fond de nationalisme argentin, on n'oublierai presque que c'est Madonna jouant à Eva Peron s'adressant à son peuple face à son destin, et non pas Madonna star planétaire sulfureuse qui transcende SON public lors d'un show.

    La seule fausse note fut en 2008 dans l'album « hard candy » Madonna croyant bien faire, voulu intégrer à ses r'nbistes collaborations un son résolument caliente, histoire de faire rappeler à ses fans le bon vieux temps, se prend un râteau monumental, déjà que l'album en soi ne fait pas du tout l'unanimité auprès de la communauté madomaniaque mais « spanish lesson » est d'une nullité déconcertante tant dans les paroles que dans le son. Se sentait-elle obligé de dire à un public argentin -encore- de toute façon dévoué à sa cause « hablas español ? » lors du sticky&sweet tour ; parlez-vous espagnol ? Gné ?? Ben à ton avis patate ? Sa leçon d'espagnol est complètement fausse, si elle s'imagine vouloir nous apprendre quelques mots, elle est complètement à côté des castagnettes ! Prenez les paroles de cette chanson et la traduction qui est donnée, et faites maintenant vous-même une recherche sur le web sur n'importe quel site genre de traduction, comme je l'ai fais et çà donne :

    yo te quiero = je t'aime

    mucho quiero = j'aime beaucoup

    callate = se taire

    besame = embrasse-moi

    yo soy loco = je suis fou (… ou 'loca' puisque Madonna est une femme, je le rappelle)

    entiendo = je comprends

    siempre = toujours

     

    voilà maintenant que vous savez çà, vous pouvez mourir tranquille !

     

    Ya en 1982 en el video de "Borderline" de Madonna es un guiño al flamenco plantean cuando se ve frente a la cámara de un fotógrafo de un globo amarillo encima de la cabeza;

    En el año 1987 para la banda sonora del mismo nombre, la canción "Quién es esa chica" que tiene un ritmo decididamenteAmérica en la introducción, el coro y el hipnótico letmotiv donde Madonna repite incansablemente "Quien es la ESA niña .../. ..Señorita mas fina "y después" que está Suyo corazon "demuestra una vez más el interés de la cantante y el acto de la inserción de una lengua extranjera en una canción anglosajona es claramente una señal fuerte de la integración y llegar a los pueblos de América Latina, español y portugués.

    Esto también es válido en 1989 por la canción "que los Ojos españoles" no es muy conocida, pero melancólica balada hermosa, la cantante en repetidas ocasiones se integra perfecto Inglés y castellano en una copla "usted no estaba la Maravilla en nuestras mentes ».../... ".../... en el barrio todas las calles .../... "una voz masculina ronca adicionales celebrados con " lagrimas de tristeza... »

    En 1990 se podría haber hecho sin la poco convencional "Estoy Going Bananas" que no tiene ni pies ni cabeza que es difícil de traducir las palabras, por lo que mezcla los dos idiomas es anárquico.

    1996/1997: Evita período, película épica, ideal para Madonna gana en ambos sentidos, jugando la comedia cantando y contandoun telón de fondo trágico del nacionalismo argentino, que casi se olvida de que Madonna se está reproduciendo Eva Perón se dirigió a su pueblo contra su destino, no Madonna que trasciende mundial de azufre a su público durante una presentación. La única nota falsa en el año 2008 con el álbum "Hard Candy", Madonna creyente para hacer el bien, quería integrar suscolaboraciones sonido decididamente caliente, sólo para recordar a sus fans de los viejos tiempos, tomar un rastrillo esmonumental, como ya se ha el álbum en sí no es en absoluto unánime en la comunidad, pero madomaniaque "lección española" es un vacío desconcertante, tanto en las palabras en el sonido. Se sintió obligada a decirle a un público argentino, pero de todos modos dedicado a su causa "habla español?" Durante la gira Sticky & Sweet, ¿hablas español? ESG? Ben se creo la papa? Suclase de español es completamente falso, si se piensa que quieren aprender unas pocas palabras, ella está completamente fuera de sus zapatos! Tomar las palabras de esta canción y la traducción se da, y ahora te hiciste una búsqueda web en cualquier tipo de sitio de la traducción, como yo

     

     

    19-ct-la-isla-bonita_017
     
    como puede ser verdad...

    L'hommage le plus emblématique de Madonna à la culture hispanique reste le chef-d'oeuvre « la isla bonita » ; indémodable, inégalé, éternel. L'un des morceaux sinon le morceau le plus chaleureux et festif de toute sa carrière. Une boite à rythmes, un tambour cubain et quelques maracas le tout sur des riffs d'une guitare acoustique reconnaissable parmi cent ; qui ne connaît pas La Isla Bonita, titre évocateur à jamais ancré dans la tradition qui fait danser toutes les générations dans les mariages, en boite de nuit, de jour comme de nuit, chez soi ou en vacances, même au boulot (çà m'est arrivé récemment au grand dam d'un collègue qui m'a surpris et ne me regardera plus jamais comme avant !) un titre qui apporte du soleil dans les coeurs, dès la première seconde on relève la tête, on sourit en disant « aaaah » puis on se met à crier sans qu'on ne sache pourquoi en se raclant la gorge « bbrrrrrrrr ayyy ayy aaayyyyyyyyy » quitte à être ridicule, sur la piste, bourré un mojito à la main, tenant à peine debout. La ferveur et la gaité avec laquelle le public accueille le tube en 1986 procure encore aujourd'hui une telle joie de vivre que çà donne envie de faire la fête à n'en plus finir avec l'être aimé ou entres ami(e)s.

    Madonna elle-même décrit cette chanson comme « un hommage à la beauté et au mystère du peuple d'Amérique latine. Les rythmes latins dominent souvent nos compositions -parlant de son travail avec Pat Leonard- c'est comme si nous étions possédés : Nous pensons tous deux que nous étions latins dans une autre vie ».

     

    Lors de ses prestations scéniques tout au long des années dans ses spectacles tout comme lors de concerts à buts caritatifs, Madonna met systématiquement le feu avec cette chanson ; le rythme est endiablé la plupart du temps (en 1987 lors du « who's that girl tour » en 1993 lors du « girlie show » ou en 2006 et le « confessions tour ») ou au contraire se veut beaucoup plus intimiste et convivial (comme pour son interprétation de 2001 avec le « drowned world tour ») où les musiciens et les choristes entourent la chanteuse qui prend d'ailleurs la guitare elle aussi. En 2008 et 2009 lors du sticky and sweet tour on redécouvre La Isla Bonita sous un nouvel angle grâce à une version emprunté au style gitan/gypsy et l'incrustation d'une reprise « lela pala tute »

     

    pour le plaisir et en prologue à ce que beaucoup annonce comme étant le grand retour de la madone sous les spotlights, voici quelques vidéos des différentes interprétations du morceau depuis 1987

     

    El homenaje más emblemáticos de la cultura hispana de Madonna sigue siendo la obra maestra "La Isla Bonita" sin tiempo, sin igual y eterna. Una de las canciones, excepto la canción como cálido y festivo a lo largo de su carrera. Un tambor, un tambor y unamaraca cubana pocos los riffs en una guitarra acústica de ciento reconoce que no conocen a La Isla Bonita, título evocador para siempre enraizada en la tradición de todas las generaciones a bailar en las bodas en el club de noche, de día o de noche, en casao de vacaciones, incluso en el trabajo (que me pasó hace poco, para disgusto de un colega que me sorprendió, y ninguno de mi negocio como nunca antes!) un título que trae el sol en el corazón desde el primer segundo que mira hacia arriba, que sonreír y decir "aaaah" y luego se echó a llorar, nadie sabe por qué, aclarándose la garganta "bbrrrrrrrr Ayyy ayy aaayyyyyyyyy" dejó en ridículo en la pista, metió un mojito en la mano, teniendo apenas de pie. El fervor y la alegría con la que el público reciba el tubo en el año 1986 sigue ofreciendo un entusiasmo por la vida que te hace querer a la fiesta sin fin con su ser querido o amigo (s) . Madonna se describe esta canción como "un homenaje a la belleza y el misterio de los pueblos de América Latina. Ritmos latinosa menudo dominan nuestras composiciones, hablando de su trabajo con Pat Leonard, que es como si estuvieran poseídos:Ambos creemos que nos América en la otra vida ".

     

    Durante sus actuaciones en directo durante todo el año en sus espectáculos como en los conciertos de beneficencia, Madonnasiempre en el fuego con esta canción, el ritmo está furioso casi todo el tiempo (en 1987 en el "Quién es esa chica turística" en 1993 en la "Girlie Show" y en el 2006 y el "Confessions tour") o, por el contrario, quiere mucho más íntimo y acogedor (a partir de 2001 por su actuación con "Tour Drowned World"), donde músicos y cantantes en todo el cantante que es también la guitarra. En 2008 y 2009 durante el Sticky and Sweet Tour La Isla Bonita fue redescubierto en una versión nueva luz con un estilo tomado delgitano / gitana y el pop de una recuperación "Lela Pala Tute"

    para la diversión y como prólogo a lo que muchos anunciaron como el gran regreso de la Virgen bajo los reflectores, aquí estánalgunos videos de las diferentes interpretaciones de la canción desde el año 1987

    http://www.youtube.com/watch?v=JbDbBal53ig

    http://www.youtube.com/watch?v=qHvVfRfxyKs&feature=related

    http://www.youtube.com/watch?v=RlQOF98qT_g&feature=related

    http://www.youtube.com/watch?v=tdeOtiA5qmE&feature=related

    http://www.youtube.com/watch?v=NyBfukth2wY&feature=related

    http://www.youtube.com/watch?v=TnxfMgKjD5U&feature=related

     

    allé eehoo ; allé oohhoooo

    cool

     

    Franck Schweitzer.

     


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :