• 05/2017

    Rédac' & traduc' Florian Cornu et Gaël Leguen / direction artistique Cédrik André  /  Directeur de la pub' Lionel Fisher / Directrice marketing et comm' Christine Leriche  /  Directrice Publi' JPhilippe Pécoul

    Sorte de biographie compartimentée (musique, cinéma, mode...) Là encore un support déjà vu, mais toujours sympa à collectionner. Bel objet couleur, mise en page propre et originale ce qui ne gâche rien.

     

    > Les petits plus, à noter :

    * Des encarts résumant les principaux singles par décennies ;

    * Un top10 des morceaux inédits que Madonna aurait enregistrés, mais qui n'ont jamais vus le jour ;

    * Ses phrases les plus emblématiques


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  • 04/2017 VOGUE

     

    AVRIL 2017 / VOGUE Allemagne. Le Shooting à-la-Greta-Garbo, du déjà vu me direz-vous ? Oui mais il faut bien dire que de ce genre de photos, personne ne s'en lasse et ça la rend d'un glamour absolu. Photoshop est passé par là, sans doute un peu trop, ça aide à rester jeune, mais au vu du résultat final, on ferme les yeux et on adore.

    Passons au texte, j'en ferais pas une traduction littérale malgré mon allemand scolaire : Pourquoi continue-t-elle a écrire, à chanter, à tourner ? Parce que c'est comme une seconde nature pour elle, sa raison de vivre nous dit-elle. Et de continuer a-t-on demandé à Steven Spielberg s'il en a assez de faire des films ou à Picasso s'il a suffisamment peint de tableaux ?

    L'article énumère ensuite les collaborations de la chanteuse, les différents looks de sa carrière ainsi que toutes les artistes de la nouvelle génération qui revendiquent son héritage.

    Grâce soit rendu à ce pigiste et à ce magazine d'évoquer l'apport culturel et les positions politiques et humanistes dont Madonna a été l'instigatrice grâce à ses happenings et ses provocations controversés : (libération sexuelle et droits de la femme, avortement, homosexualité, christianisme...)

    Venons-en maintenant au VOGUE Italia de façon très brève parce que je n'ai pas grand chose à dire sur ce sujet : A l'origine du projet Franca Sozzani décédée en décembre 2016, cette session photo est à mon sens totalement ratée, j'aime pas du tout cette série de photo on ne peut plus banal, Madonna fait inutilement vulgaire.


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  • 02/2017 harper's bazar

     

    SESSION PHOTO PAR LUIGI & LANGO

    POUR LE MAGAZINE HARPER'S BAZAAR DE FEVRIER 2017 

    A L'OCCASION DE SON 150E ANNIVERSAIRE.

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    L'INTERVIEW ! Morceaux de choix

    L'entretien est mené par Roxane Gay ; alors que la première question parle d'engagement politique, Madonna fait un rapide panorama de sa carrière et répond

    « Je suis politique et je crois en la liberté d’expression. Je ne crois pas en la censure mais à l’égalité pour tous, et je pense que les femmes doivent être maîtresses de leur expression sexuelle. Vous n’avez qu’à regarder ma carrière »

    « Le soir de l’élection, j’étais assise autour d’une table avec mon agent et à un moment elle a dit: “Ça s’annonce mal.” Je suis allée dormir, et depuis cette nuit-là, je me réveille tous les matins, je suis anéantie et je me dis que Donald Trump est Président. Ce n’est pas un cauchemar. C’est vraiment arrivé. Personne dans l’industrie du divertissement, à l’exception peut être d’une poignée, ne s‘exprime sur ce qui se passe. Personne ne prend position car si vous avez un avis et qu’on n’est pas d’accord avec vous, vous pourriez avoir du mal à avoir du travail. Vous pourriez être blacklisté. »


    « L’Art me garde en vie. De toute évidence, j’ai été dévastée et j’ai eu le cœur brisé toute ma vie depuis la mort de ma mère. J’ai dû affronter beaucoup d’épreuves tout au long de ma carrière, et ce malgré ma popularité. La seule façon dont j’ai pu surmonter la trahison de proches et de la société, c’est de pouvoir créer en tant qu’artiste. Ce qui me pousse à continuer ? La volonté d’inspirer les gens pour qu’ils regardent la vie différemment. Faire partie d’une évolution, parce que, pour moi soit vous faites partie de la création, soit vous faites partie de la destruction. Je ne peux pas l’expliquer; c’est comme respirer, et je ne peux m’imaginer ne pas le faire. Est-ce que quelqu’un est allé voir Pablo Picasso pour lui dire “ok, vous avez 80 ans. Vous n’avez pas assez peint de tableaux ?” Non. J’en ai vraiment marre de cette question : J’arrêterai de faire tout ce que je fais quand je n’aurai plus d’idées. Je m’arrêterai quand vous me tuerez, bordel ! »

    « A chaque fois que je mets sur pieds mes shows, je me sens inspirée et excitée artistiquement parce que je peux faire et dire beaucoup de choses, ce que je ne peux pas faire en faisant juste un album. C’est très souvent la seule façon dont les gens vont entendre ma musique parce qu’on ne passe plus vos chansons dans le Top 40 si vous avez plus de 35 ans. J’aime parler et jouer avec le public. C’est ce que j’ai commencé à faire avec “Tears Of A Clown”. Je suis fascinée par les clowns, et l’idée que les clowns sont supposés vous faire rire, mais inévitablement ils cachent quelque chose. c’est la façon dont je vois la vie. J’aime repousser les limites, mais je n’aime pas provoquer juste pour être provocante. J‘ai envie de faire réfléchir les gens, les toucher au cœur et si je peux faire les trois en même temps, alors j'ai l’impression d’avoir vraiment accompli quelque chose. »

    02/2017 harper's bazaar

     


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  • Ce que la presse en dit, sur le web...

     

    Janvier 2017 - Marche des Femmes à Washington

     

    Janvier 2017 - Marche des Femmes à Washington


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    DECEMBRE 2016 / BILLBOARD « Madonna woman of the year 2016 »

    Magazine bien connu des fans, et à mon sens, bien connu aussi pour son contenu qui n'a souvent rien à voir avec la photo de l'artiste en couverture, Madonna par exemple. Sauf que pour ce numéro-ci Billboard a fait un effort ; une dizaine de pages, de nombreuses photos et... surtout un bel interview collector vu qu'il s'agit là d'un numéro spécial « Madonna femme de l'année 2016 »

     

    Sur la route, se préparant pour une interview, Elizabeth Banks se souvient de septembre 2001 : la tragédie du 11 septembre, la fin du Drowned World Tour et le tournage de swept away, mais également du souvenir de ce que représente Madonna dans l'ensemble de sa carrière du point de vue humanitaire, femme d'affaires ou encore mère de famille. Elizabeth se rend au domicile de la star dans sa propriété de Santa Monica :

    Dans cet interview Madonna parle de son besoin de tout contrôler et que toute décision doit obligatoirement passer par elle « no-one will speak for me, no-one will make decisions for me » que ça doit sans doute venir de son enfance et de la perte de sa mère (le même letmotiv depuis des années). Il est question plus loin de l'élection de Trump à la tête des Etats-Unis et du cauchemar que cela signifie pour elle, de l'inégalité hommes-femmes qui reste un sujet central dans nos sociétés. Madonna relativise également quant à sa vie, le luxe qui l'entoure et son engagement au Malawi et la misère en Afrique centrale et du sud, et surtout à la chance qu'il lui a été donné d'avoir une famille qu'elle aime de toute son âme.

    A la question « qu'en est-il de Madonna réalisatrice ? » elle répond vouloir faire davantage de films, mais c'est très compliqué, parce que c'est long et que ça n'engage pas qu'elle seule ; alors que si elle veut partir en tournée, elle n'a qu'à dire « ok I'm going on tour ». Elle confie enfin se soucier de tout et de tout le onde. Aucune place pour l'indifférence.

     

     

    12/2016


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  • 09/2016 love mag

    Le photographe et ami, Mert Alas a shooté Madonna au naturel, sans artifices ni maquillage, les cheveux à la wanegain... et aussi son fils Rocco qui a bien grandi et la langue bien pendue... Troublante photo, à la fois d'une jeunesse rétro-punk à l'anglaise et un brin d'homo-érotisme.

     

    Accompagnant ces photos, Madonna se confie sur son statut de pop-star et les médias en général : "Je ne me considère pas comme une pop-star mais plutôt comme un artiste. (ce qui est sensiblement la même chose dans l'industrie musicale mais bon!). Une responsabilité de l'artiste d'être révolutionnaire dans notre travail. (la révolution de l'amour oui, on sait). C'est notre responsabilité, notre devoir et notre privilège. J'étais déjà célèbre avant les médias sociaux. (sans déconner?). Le fardeau aujourd'hui, est que les gens sont plus concentrés sur la renommée que de faire le job ou d'être un artiste. Maintenant, il est facile de devenir célèbre. Ce qui n'est pas facile, c'est se développer et grandir en tant qu'artiste sans être distrait par la renommée. (ouais, bien vu! Concernant les réseaux sociaux et notamment son compte instagram...) j'aime Instagram parce que c'est comme garder un journal, et chaque jour je partage différents aspects de ma personnalité, de ma vie et de ce qui m'inspire, etc. Cela me permet d'être mystérieuse, ironique, provocatrice ou fier. Je peux l'utiliser comme une plate-forme pour attirer l'attention des personnes ou les problèmes qui me semblent importants. (c'est un peu le principe ma chérie, on t'a pas attendue pour savoir ça).

    Article inesthétique, racoleur, torché vite-fait sans réel fond ! TORCHONS

    photos (c) mert alas  ;  photomontage (c) perso

    Franck Schweitzer


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  • çà se passe de commentaires je pense, tellement c'est drôle et pas si méchant que celà au final. Charlie Hebdo a imaginé la rencontre entre Madonna et la présidente du parti nationaliste. A lire en page 2 du numéro 1181 (11/03/2015) ;

     

    Snapshot_20150313

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  • madonna-interview-magazine-4
     
     

    L'unique interview. De la punk des rues à la reine de la pop, Madonna – Confessions d'une shootée de la musique. L'article de MOJO comporte diverses photos de sa carrière, plus ou moins connues.

     

    L'article nous dit que le tout début de la carrière de Madonna, fait correspondre un contexte spécifique à l'underground ambiant ; Jean-Michel Basquiat, Keith Haring, la Dancetaria... Le New-York de l'époque était magique. Le CD qui accompagne le magazine en donne une idée en retraçant les morceaux des artistes qui se produisait à la Dancetaria, dans les rues, les clubs glauques. « Everybody » est la résultante de tout ces rythmes afro-funky mélangé au disco-pop qui voyait ses derniers jours arriver. Madonna déclarait alors être influencée par Debbie Harry, the B-52's ou encore Talking Heads. On connait la suite de l'histoire, la future megastar remet une de ces démos à Mark Kamins qui lui fera rencontrer Seymour Stein alors que ce dernier est sur son lit d'hôpital

     

    MOJO évoque le nouvel album à venir, le contexte durant lequel Rebel Heart a été enregistré (9 mois) entre Londres, Los Angeles et New-York, ce qui est la plus longue période d'enregistrement pour un album studio de Madonna. L'équipe de rédaction a écouté 14 titres de l'album et en fait leur analyse. Il est évoqué aussi le rapport de Madonna à la drogue, du fait qu'elle n'en prend pas car elle ne veut pas perdre le contrôle de ce qu'elle fait, et aussi parce que les substances détruisent le corps, qu'elle est très effrayée par cela ; et quand on lui demande pourquoi elle a toujours eu cette envie de se rebeller, elle en vient à raconter son passé, ses rapports complexes avec son père et la religion, les inégalités hommes/femmes... Pour elle l'essence d'un artiste c'est de se poser des questions et de relativiser. Etre rebelle est le lot de chaque personnes créatives, si l'on ne se rebelle pas contre son travail, à quoi bon continuer ?

     

    Les dernières pages de l'article passent en revue toute la carrière de Madonna, de son arrivée à NYC et sa rencontre avec Patrick Hernandez à Paris en 1979, jusqu'à nos jours.

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    Au sujet du shooting photo effectué pour accompagner l'interview de ce magazine, Rosie O'Donnell avait encensé le corps de Madonna en ces termes « si mes tétés ressembleraient à çà, je serais déjà à poil ». En effet, une photo avait fait polémique, on y voit Madonna couchée sur le côté, en nuisette et dévoilant ses seins ; ce qui avait provoqué une énorme controverse sur internet et les réseaux sociaux, les commentaires mettant en avant le fait qu'à plus de 50 ans, on ne pouvait ou ne devait plus agir de la sorte. Ces réactions frondeuses avaient trouvés écho chez l'ex-chanteuse d'Eurythmics, Annie Lennox qui s'était interrogée de façon assez tiède « qu'est-ce-que Madonna veut nous dire en faisant çà ? Elle veut simplement se faire remarquer, oui je le pense ».

    >>> La rencontre a eu lieue entre Madonna et l'illusionniste et magicien David Blaine ; l'interview est tellement haut perchée, que je regrette chers lecteurs de mon blog, mes maigres compétences en langue anglaise m'empêchent de vous la traduire ; je ne peux le faire !

     


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    sujet sur harper's bazaar
     

    Le magazine de mode féminin US Harper's Bazaar propose en ce mois de novembre 2013, une superbe couverture de Madonna et 7 pleines pages couleurs avec de sublimes photos aux tons « or et noir ». ce n'est pas exactement une interview mais plus qu'un billet d'humeur, une confession autobiographique où la star parle de son ambition d'adolescente, son combat pour la liberté et la vérité ainsi que de sa vie de femme et d'artiste.

     

    Bio Xpress/Terry Richardson

    date et lieu de naissance : 14 août 1965 à New-York

    profession : photographe professionnel

    études : Hollywood High School à L-A

    vie privée : a été marié à Nikki Uberti

    a shooté Kate Moss, Faye Dunaway, Gisele Bundchem, Rihanna, Barak Obama, Lana Del Rey, Miley Cyrus, Jared Leto...

    site officiel : www.terryrichardson.com

     

    Non-conformisme et avant-garde

    Madonna reconnaît que l'expression 'action ou vérité' lui colle à la peau depuis ces vingt dernières années mais toujours avec humour, elle relativise le fait qu'elle soit capable de faire autre chose qu'une fellation sur une bouteille d'Evian. Par mesure de sécurité les gens prennent plus facilement « vérité » car ils peuvent la masquer par un mensonge en ommettant de dire ce qui les gêne parce que dans « l'action » il faut se confronter au regard des autres et là réside toute la difficulté. Elle explique que c'est devenu son credo, alors quand bien même, elle ne fait pas l'unanimité elle refuse le tiède, dit vouloir oser faire, sortir des sentiers battus sinon « je ne vois pas l'intérêt d'exister ».

    A l'adolescence, alors que tout le monde fumait et buvait de l'alcool, elle, ne considérait pas cela comme être une rebelle car dans le fond, tout le monde le faisait. « je n'ai jamais voulu être une suiveuse » entre guillemets c'est précisément ce qu'elle fait depuis « hard candy » en travaillant avec des producteurs électro ou hip-hop en vogue pour s'assurer le succèe et ne pas tomber en désuétude. Elle repoussa alors tout les codes de féminité, ne se rase plus les aisselles ni ne se maquille.

     

    I love New-York

    A cette époque elle constate que New-York est une ville sale, pauvre et dangereuse. Après s'être faite cambriolée, voilée sur le toit d'un immeuble, braquée avec une arme à feu, l'image de carte postale est très loin de la réalité mais à côté de l'individualisme, la taille démesurée des immeubles et la vie quotidienne électrique, Madonna fut en état de choc et pourtant voulait se battre pour réussir, sortir du lot. Dans son taudis délabré, elle rêvassait, perdait parfois confiance mais c'est une photo de Frida Khalo qui lui donnait du courage. Cette femme formidable est un modèle de femme indépendante, incomprise qui se fichait du regard des autres, « si elle y est arrivée, moi aussi ».

     

    Les années passent

    A 25 ans, provoquer est une chose plus simple lorsqu'on est connu parce qu'on attend de l'artiste qu'il soit extravagant, Madonna fait ensuite un parrallèle avec la religion et la différence qu'elle fait entre la règle et la loi. La règle est suivie sans que l'on pose de questions mais s'il n'y a pas un minimum d'ordre c'est l'anarchie. L'ordre doit être présent si ce n'est que parce qu'il est jouissif que celui-ci soit transgressé.

     
     
    2013 bazaar
     

    A 35 ans elle fut en quête de sens, divorcée sans enfants et passé outre ses provocations, elle désirait devenir une mère épanouie avant qu'il ne soit trop tard. Etre humaniste et combattante pour la liberté ne fait pas forcément quelqu'un de non-qualifié pour élever un enfant, la chanteuse se tourne alors vers une vie plus spirituelle grâce à la Kabbale ; là elle étudie Dieu, le paradis, l'enfer sans que l'on tente de lui imposer un dogme. Elle apprend l'araméen, l'histoire, le débat est permis et encouragé. Pourtant on dit à cette époque qu'elle fait partie d'une secte, qu'on lui lave le cerveau, les gens sont soudain devenus aggressifs à son égard et lui en ont voulu, alors que son but n'a jamais été que de devenir quelqu'un de meilleur.

     

    « rien n'est plus beau que la campagne anglaise »

    A 45 ans, remariée deux enfants au Royaume-Uni, elle dit avoir souffert du complexe des trop-riches, mise à l'écart, une fois encore elle s'est sentie seule, elle a dû de nouveau batailler pour se frayer un chemin. Elle a appris à aimer la gastronomie, l'architecture et l'humour anglais puis à commencée à s'intéresser à des causes humanitaires notamment en Afrique, comme appris au sein de la Kabbale, tout précepte théorique doit servir sur le terrain « j'ai passé par tout les stades administratifs et légaux afin d'adopter puis me suis rendu sur place, au Malawi. Là encore mon action pourtant désintéressée a suscitée la polémique, l'on m'a accusée des pires choses : de kidnapping, d'utiliser ma notoriété comme passe-droit, même de sorcellerie »

     

    « si tu n'es pas prêt à te battre pour ce que tu crois, ne montes pas sur le ring »

    Un des plus durs moments de sa vie. Elle accepte d'être critiquée pour avoir simulé la masturbation sur scène mais pas de vouloir sauver des enfants de la maladie et de la pauvreté. Madonna avoue s'être mieux préparé psychologiquement quant à la l'adoption de la petite Mercy, elle a même gagnée son procès à la Cour Suprême aidée par une armada d'avocats. Aujourd'hui avec quatre enfants, loin des tumultes elle leur essaie de leur inculquer des valeurs en dehors de la pensée unique tout en respectant les règles mais surtout d'oser faire les choses parce qu'elles sont justes et non pas pour plaire aux autres. Maintenant qu'elle a débuté une nouvelle carrière de cinéaste, c'est grisant tel un nouveau défi à relever avec ses joies et ses difficultées ; construire des écoles pour filles dans des pays islamiques et d'apprendre la pensée théologique des trois religions monothéistes est très important selon elle.

    « la vie passe et relever des défis est devenu une norme pour moi, tout le monde devrait en relever, truth or dare ? »

     

    Traduction française : Madonnarama.com/

    Sujet transposé de Franck Schweitzer pour Xpress Your Zest


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  • shocking dans le monde des pré-pubères boutonneux et des jeunes filles qui découvrent les joies du printemps ; Madonna SEXpose dans la presse française qui leur est consacré mais pas que ; VOICI, OK MAGAZINE, SALUT, SUPER, STAR CLUB ont multipliés les articles plus ou moins racoleurs avec des interviews plus ou moins réelles de la sulfureuse Madonna dans les années 92/93. Voici un petit échantillon de ma collection personnelle (toujours) des coupures de presse de l'époque que j'ai pu récupérer çà et là

     

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