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Par luukee1 le 22 Février 2024 à 03:46
De nombreux stylistes et designers ont dessiné et imaginé les costumes de Madonna et de sa troupe pour cette Célébration ! Beaucoup de costumes mythiques de la star au cours de ces 4 décennies ont étés réinventés pour l'occasion.
* Eyob Yohannes et Rita Melssen : « nous voulions faire référence à tout ce qu'elle a fait et en faire quelque chose de nouveau : Elle -Madonna- est impliquée dans chaque processus de conception des costumes. Elle regarde tous les tissus, croquis et boutons. Elle se soucie de qui sont les personnages qui racontent cette histoire, son histoire ».
* Dilara Fındıkoğlu ; * Miu Miu ; * Donatella Versace et * Jean Paul Gaultier
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Par luukee1 le 21 Février 2024 à 19:38
THE plus grande ‘fucking’ tournées de toutes les tournées de Madonna, dont la ou les scènes sont inspirées de la structure géographique de Manhattan !
8 humidificateurs dans la loge de Madonna
80 tonnes d'équipement de production
335 mètres carrés d'images de projection pour le spectacle...
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Par luukee1 le 15 Décembre 2023 à 02:33
On parle souvent du Bilan Carbone et d'éco-citoyenneté... Mais Madonna est au-dessus de ces considérations, surtout quand il s'agit de mettre en lumière ses shows !
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Par luukee1 le 30 Novembre 2023 à 23:24
Le Celebration Tour est l’occasion de mettre en avant le décor ou plutôt les écrans géants et les différents morceaux de scène qui constituent ce décor : Tour d’horizon au sein d’une sélection personnelle :
L’incroyable entrée en scène sur « nothing really matters » avec une scène circulaire d’où Madonna arrive par l’arrière, le tout est éclairé par du blanc venu de la scène elle-même mais aussi venant d’en haut ; une structure ronde elle aussi qui se meut au fil du morceau et dont les spotlights font écho entre le haut et le bas. Un très grand moment à la fois épuré, emprunté à de la science-fiction
Everybody : les écrans du fond de scène s’assemblent en un seul et se dessine sous forme de petits points de lumières, un ensemble de bâtiments et de buldings faisant référence à Manhattan, l’ambiance rappelle d’ailleurs le titre « I love New-York » durant la période 2005-2006 lors de la promo de l’album COTDF et du Confessions Tour.
Like a prayer : la scène circulaire sort littéralement de scène ; scindée en plusieurs parties et dans chacune un danseur qui se tord de douleur on l’imagine, dans des positions christiques, là encore un moment fort en symboles, soutenu par une orchestration qui rappelle l’intro avec les moines du MDNA Tour
Deux photos, deux contrastes : Sur l’une mère et fille jouent les Bad girl ; c’est touchant, sexy, malaisé même un peu quand on connait les paroles de cette chanson et savoir que la mère s’est mal comportée et qu’elle raconte ses beuveries à sa fille bonne élève au piano. La lumière est blanche, simple et tout se concentre sur l’avant-scène avec Madonna plus proche que jamais de son public ; sur l’autre photo, un retour à la fête et au défilé de mode où cette fois, toute la scène est investie, autant sur la longueur que les côtés
The beast within : l’arrière-scène s’embrase dans le feu et les écrans diffusent en grande partie l’intro du REinvention Tour où le rouge domine ; sur la longueur de la scène les danseurs miment des scènes de guerre et de messages politiques universels dans des couleurs bleu/vert presqu’aveuglants ; on pense évidemment au conflit israélo-palestinien mais pas que.
Contraste encore ; sur la première photo Die another Day, nous sommes très loin de l’ambiance de OO7, la chorégraphie est morcelée et saccadée en divers endroits de la scène, le tout éclairé à la seule lumière blanche parfaitement synchrone
Pour La Isla Bonita on retrouve la chaleur du ciel et du soleil d’Espagne au travers de rouge, d’orange et de jaune ; les écrans à l’arrière diffusent des nuages magnifiques dans le soleil couchant.
Pour Bedtime Story ils ont fait fort ; un élément de l’avant-scène se soulève du sol tel un cube en trois dimensions avec Madonna s’y couchant, et dont l’image est reflétée sur les écrans à l’arrière, avec un fond de paysage inspiré directement de l’univers de Björk, une espèce de forme informe extraterrestre…
Ray of light est le deuxième titre (avec Live to Tell) où Madonna voyage au-dessus du public à plusieurs mètres dans le vide dans une structure rectangulaire, les lasers et effets techno faisant le reste. Pour Rain toute la salle est plongée dans une pluie de lumière blanche et bleu azur, ce qui contraste une fois encore avec le bleu nuit du morceau qui précède.
On termine cette petite analyse avec deux enfants terribles de la pop Michael Jackson et Madonna (le roi est mort, vive la reine comme titrait cyniquement la presse en 2009) ; un jeu d’ombres chinoises derrière un écran de cinéma, magnifique de sobriété, les pas de danse tellement reconnaissables… Iconiques !
Franck Schweitzer
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Par luukee1 le 9 Octobre 2023 à 23:23
J'ai trouvé une pépite sur instagram, le créateur est fan de Madonna çà fait aucun doute mais il est surtout designer et créateur de contenus 2.0 et s'appelle Roberto CHIAVALLOTI.. Ce mec pleins de talents a imaginé Madonna sur scène pour son celebration tour sous différentes poses et dans différents costumes ; le résultat de bluffant et magnifique !
QUESTION > est-ce juste un fan-made ou un scoop concernant les outfits prévus sur cette tournée ?? On le saura bientôt d'ici le 14 octobre avec la première date Londonienne.
ATTENTION ce n'est pas un SPOILER ****
(c) therealrobertochiavalloti sur instagram
ATTENTION ce n'est pas un spoiler **********************
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Par luukee1 le 21 Janvier 2023 à 14:52
"Là, sur sa peau gravée, à l'encre bleue dessinée..." Etienne Daho
Rites initiatiques, voyous, esclaves ou encore prisonniers, le tatouage existe depuis la nuit des temps et il subsiste aujourd’hui encore une image négativement connotée dans certaines régions du monde ; depuis qu’il s’est démocratisé avec l’essor de la culture pop, on ne compte plus les artistes engagés ou non depuis le début des années 90 qui exhibent fièrement leur tattoo, soit par provocation, soit pour lancer une tendance.
Madonna ne déroge pas à la règle, on se souvient notamment des tatouages au henné qu’elle arborait sur les mains et le visage en 1998 à l’époque de Ray Of Light. Plus récemment en 2012 elle arborait plusieurs soirs tout au long de sa tournée, de ces messages politiques, sociétaux ou idéologiques, et ça n’a pas toujours plût évidemment, mais c’est le but non ? La liste étant évidemment non-exhaustive, voici une petite sélection où Madonna portait un tatouage (délébile s’entend) apparent dans le dos ou sur le bras lors de ses concerts du MDNA Tour :
Le tatouage n'est pas toujours le même. Lors de la plupart des concerts, il s'agit de l'inscription « No fear », qui signifie « sans peur ». C’est la qualité première de la chanteuse qui lui vaut le respect et l’admiration de son public mais aussi de ses détracteurs ; elle n’a peur de rien ! Ni de la censure ni des menaces de mort… Elle l’a prouvé plusieurs fois au cours de sa carrière.
Le premier changement de tatouage a eu lieu le 7 août, à Moscou. Madonna avait écrit « Pussy Riot » dans le dos et le 21 aout à Nice sur les bras. C’était un soutien artistique au collectif féministe du même nom, lorsque ces « spice girls » d’un nouveau genre, bravaient l’autorité du candidat d’alors, Vladimir Poutine
Le 6 septembre, à New York, les 19 et 20 septembre à Chicago et le 18 octobre à Denver c'était « Obama » que Madonna avait tatoué dans son dos. Là, le soutien politique de la chanteuse est on ne peut plus clair !
A partir du 10 octobre à Los Angeles, les tatouages que Madonna portaient furent bien plus politisés : Le tatouage « Malala », en hommage à Malala Yousafzai, jeune femme militant pour l’éducation des filles au Pakistan, et victime d’un attentat revendiqué par les Talibans.
Le 16 octobre, à Phoenix, la chanteuse a rendu hommage à Amanda Todd, une adolescente canadienne qui s'est suicidée suite à du harcèlement homophobe.
Le 27 octobre à La Nouvelle-Orléans, et les premières dates du début novembre firent la part belle au mysticisme et à l’ésotérisme ; la chanteuse portait le nombre « 318 » dans son dos. D'après les kabbalistes, la valeur numérale des lettres formant le nom « Eliézer » est 318, nombre correspondant aux guerriers venus délivrer le fils d’Abraham.
Les 3 et 4 novembre, à Saint-Paul, le tatouage était composé de trois lettres en hébreu parmi les 72 noms du Divin dans la Kabbale. Elle a porté le même tatouage le 8 novembre à Détroit.
Les 13 et 15 décembre, à Buenos Aires, le tatouage de Madonna était « Eva », en référence à Eva Perón, attention toute particulière qui n’a pas manqué d’être remarqué par ses fans argentins.
Le 22 décembre, pour la dernière date, elle portait l'inscription « Endless » comme un message symbolique pour dire que la lutte contre les inégalités et pour la liberté est sans fin
Source synthétisé depuis © wikipedia
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Par luukee1 le 11 Juillet 2020 à 20:21
je me suis amusé à jouer à "dessinons la mode" avec certaines des grandes marques ci-dessus ; le résultat est en-deçà de mes espérances !
Franck SCHWEITZER
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Par luukee1 le 11 Juillet 2020 à 15:17
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